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Pour beaucoup de salariés, ce n’est pas acceptable, ce n’est plus supportable : les injustices et les inégalités sont fortes dans le monde du travail comme dans la société.
Précarité toujours en hausse, les salaires stagnent pendant que les profits continuent de battre des records, le chômage demeure le passage obligé pour bon nombre de salariés (pour les jeunes comme pour les seniors).
A la DGFIP, les suppressions d’emplois continuent, les restrictions budgétaires dégradent nos conditions de travail et la qualité de nos missions de service public.
Services désorganisés et surchargés, démantèlement des missions, pressions statistiques, suppressions d’emplois, gels de postes préparant ainsi les prochains plans de suppressions, tel est le quotidien des agents.
Cependant, rien n’est inéluctable.
Le syndicat permet de dégager collectivement des solutions et d’agir pour les faire aboutir.
La CGT, ce n’est pas « les autres « , qu’ils soient responsables ou délégué(e)s, élu(e)s ou mandaté(e)s ; la vraie force de la Cgt, c’est l’action conjuguée et cohérente de ses 600 000 adhérents pour améliorer la situation de toutes et tous.
La CGT se construit au travers et par la participation des syndiqués. L’action de la CGT, c’est la défense des agents au quotidien, c’est sa détermination à porter les revendications des personnels, à être une force de proposition reconnue, c’est la voie de la proximité avec les agents et de la présence sur le terrain.
La loi de finance rectificative a transformé la réduction d’impôt, jusqu’alors accordée, en crédit d’impôt dont vont pouvoir aussi bénéficier les salarié-es non imposables.
Exemple : une cotisation syndicale de 100 € ne coûtera en réalité que 34 € : soit la somme de 66 € viendra réduire l’impôt, soit elle fera l’objet d’une restitution pour les non imposables.
« J’ai adhéré à la CGT en arrivant à l’ENFIP parce que ses idées et sa démarche syndicale me plaisaient. En effet, la CGT marche sur « ses deux jambes » : la concertation et la défense des agents dans les CAP mais aussi la revendication dans la rue. »
« Je me suis syndiqué parce que j’avais un collègue sur mon lieu de travail qui était militant actif de la CGT Finances Publiques. Il m’a donné envie de me syndiquer pour me sentir moins seul. »
« Mon adhésion à la CGT fut une évidence. C’ est la première organisation syndicale en France qui met en avant des valeurs de solidarité, qui informe et défend les salariés. »
N’hésitez pas à télécharger le tract de la CGT Finances Publiques ci-dessous et à l’afficher, par exemple, sur vos lieux de travail respectifs :
Pour faire entendre votre voix, pour apporter une réponse collective à vos revendications en matière d’emploi, de salaire et de conditions de travail, téléchargez le bulletin d’adhésion ci-dessous, et adressez le nous (par courrier interne ou externe ou par mail) à l’adresse suivante :
CGT Finances Publiques 38
DDFIP de l’Isère
8 rue de Belgrade
38000 - GRENOBLE
mel : cgt.ddfip38@dgfip.finances.gouv.fr
Dans l’Isère, depuis janvier 2013, ce sont ainsi 13 collègues de différents sites ou métiers qui ont rejoint la CGT finances publiques 38 en marquant par un signe fort leur engagement par l’adhésion (ou la réadhésion) au syndicat.
Celles-ci sont principalement motivées par les revendications défendues par la CGT FP 38, à savoir les emplois, le pouvoir d’achat, la défense de la protection sociale et des retraites, la défense du statut et des conditions de travail...
Faites comme eux, ne restez pas isolés, « la tête dans le guidon », à « broyer du noir » ou à « râler » dans votre coin, rejoignez la dynamique de lutte, rejoignez la CGT.
En me syndiquant, je participe en tant qu’acteur (et non plus en simple spectateur) à la vie sociale et à la construction du progrès social pour moi et pour mes enfants, et plus largement pour les générations futures.
C’est tous ensemble que nous gagnerons !
Article publié le 8 avril 2013.